Description :

De Jacques Rozier

Septembre 1973 reprise Septembre 2024

France

02h30

Avec Bernard Ménez

Clap Cycle J. Rozier 2/4 

Par le réalisateur de Maine Océan

Synopsis :

Durant leurs congés d’été, trois jeunes parisiennes décident d’aller se mettre au vert et c’est sur la côte vendéenne, à Saint Gilles Croix de Vie que les amies trouvent leur bonheur. Kareen, Caroline et Joëlle, enthousiastes, ont bien l’intention de profiter et d’oublier tous les tracas de la vie parisienne. L’arrivée impromptue de Gilbert, le chef de bureau de Joëlle, pimente d’autant plus les vacances et les jeunes femmes prennent un malin plaisir à le faire tourner en bourrique. Entre éclats de rires, amourettes et coups d’éclat, ce joli trio n’est pas près d’oublier leur escapade à la mer. 

Trois jeunes filles débordant d’enthousiasme et de vitalité s’échappent de Paris pour passer le mois de septembre sur la côte vendéenne. Gilbert, un chef de bureau un peu gauche, débarque au milieu du trio.

Trois jeunes femmes parisiennes cherchent à fuir leurs soucis alors qu’elles embarquent pour une escapade estivale en bord de mer. Une agréable petite maison, une vaste plage déserte et, au milieu de tout cela, Joëlle, Karine et Caroline, pleines d’enthousiasme et de vitalité. Chaque jour apporte son partage de joies simples et de rires malicieux, ainsi que de surprises délicieuses et sans prétention.

Trois amies, Caroline (Caroline Cartier), Joëlle (Danièle Croisy) et Kareen (Françoise Guégan), partent en vacances en septembre sur la côte vendéenne, profitant d’une maison de famille de Saint-Gildas-Croix-de-Vie. Quelques temps après leur arrivée, les filles tombent nez à nez avec Gilbert (Bernard Menez), le patron de Joëlle. A contre cœur, un soir de tempête, celle-ci accepte que Gilbert plante sa tente dans le jardin. Les trois filles s’ennuyant un peu, accueillent finalement avec plaisir ce personnage un peu gauche qui devient bientôt leur souffre douleur. « Jacques Rozier a retenu les leçons de ses maîtres, Jean Renoir, Jean Vigo, et fait, comme eux, un cinéma d’acteurs qui, au-delà de la théâtralité, contient la possibilité de reproduire les apparences de la réalité. (…) Jacques Rozier se promène dans la rue et voit dix sujets de films par jour : « Je regarde les gens. Je m’amuse, ou je suis ému. Les idées sont accessoires : je fais mes théories après. Orouët, c’est un film comme ça. Un film sur les vacances, qui est aussi un film sur le travail. » Avec du talent, de la tendresse, et quelques moyens, on peut atteindre l’état de grâce. » (Martin Even, Le Monde)

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